»Charlotte à sa fenêtre »
Flamme vivante panache flamboyant
Elan fauve dans l’espace planant
Grâce féline,
Beauté aérienne et puissante
Dans la paille dorée au soleil mêlant
Ta toison foisonnante
Ame de la maison déesse tutélaire
Tes yeux d’or longtemps me hanteront
Longtemps je te verrai ombre familière
dans ces lieux désertés au bout de tes vingt ans
Sous le ciel étoilé dans ton sommeil profond
Tu n’as rien entendu
Mais un cri effrayant et
Ton corps si léger repose maintenant
Au pied du grenadier
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.